Blabla V3

En ce mercredi? Il semblerait que la neige fige les esprits et les morals ^^(oui moi fauteuse volontaire et néologiste au passage :p)

Mais c'est vrai u'y a qu'à regarder ce chat pour fondre comme neige au soleil ! 

Moi je dis une tchin party sur Blabla et la sentence de manque de sourire sera immédiatement pallié !!

Ouepa !

Alors tchin party c'est parti!

Je porte un toast à celle que... non, la suite de ce texte n'est décidemment pas drôle. Je vais garder mes coups de blues au placard et aller courir dans la neige! (en plus c'est les soldes et ça commence à -50% cette année... vive la crise)

Et pis... que vive la bonne humeur et la folie de ce lieu, c'est un ilot de joie de vivre et de bonheur... C'est précieux comme endroit!

A ce qui parait c'est bon pour le corps non? Alors vas-y je vais venir avec toi ! 

ROulons nous en boule ! Et rouli bouli !

(quoi qu'après un tchin on dirait plutôt Rouli Bourré ^^)

Sujet tabou pour moi!!

Je n'ai qu'une envie c'est de les faire, mais je peux pas...je dois travailler!!

Bilan des courses, j'ai pas fait les soldes et j'ai pas encore commencé à travailler...

Pas ma faute à moi, il y avait le 4.22 de GG sur france 4 et là c'est le 5.01.

C'est impossible de pas regarder...

Moi j'ai fait que regarder avec les yeux aujourd'hui (au départ j'étais parti me promener, j'avais zappé qu'on était le premier jour des soldes)

Du coup je pries pour que la route soit toujours inaccessible demain, qu'il reneige cette nuit ou un truc dans le genre, comme ça, pas de garde d'enfant... et du coup je peux retourner faire les soldes mais avec mon porte feuille sur moi cette fois!

Diantre, ne pas prononcer ce mot diabolique !

OUi ce matin (pour faire court ) je devais emmener ma soeur à la mairie pour son conseil municipal des enfants et il s'avère que la mairie est actuellement à côté du plus grand centre commercial de ma ville..

Me voilà donc à arpenter les couloirs m'empêchant de regarder les vitrines (j'aurais été capable de les lécher ...) tout en me répettant (va juste boire un café le temps qu'elle finisse, tu n'as plus d'argent grrrr)...

Bref, ma soeur sort, et me fait ses yeux de chat potté en me disant "on va se balader?".

Ok, je vais voir mon compte d'abord... Miracle ! Il s'est remplie...

Résultat des courses j'ai zappé les fringues, (samedi je deferlerai mes envies) pour offrir un jeu de play à ma soeur, m'offrir une manette de Wii et rhabiller ma moitié pour l'hivers... et moman a eu son appareil photo...

Ok j'ai dit que je ferai court j'aurai pas pu faire plus long ni plus chiant pour celle qui viennent de se taper tout le para :S

A défaut du court vous avez ma liste des courses:p

Bref je deteste les soldes car ma garde robe n'a pas grandi d'un yota en revanche mon comte à rétréci...Naze ^

... Je suis sûre que ta wii va te réconcilier avec la nouvelle tête que fait ton compte en banque...

Oui la Wii ! 

Ah bah elle m'a déja réconcilié pendant une heure (coincée par la neige ça a du bon ^^^)

Mais ça ne me gène po, j'ai fit des cadeaux... Et croyez le ou pas mais j'ai le vice du cadeau...

c'est le meilleur des vices celui-là (non, non, je ne dis pas ça parce que je l'ai aussi...)

Et la neige à montpellier aussi alors? elle est vraiment partout celle là aujourd'hui... si on en demande encore, vous croyez que demain elle revient? Je suis pas rassasiée moi :D

Ahhhhh je veux aller au ski!!!

Chapitre septième : Voyage en colis, ou l'odyssée postale.

Reprenons donc où nous en étions... je vous remets immédiatement dans le feu de l'action, début in medias res, pour faire plaisir aux adeptes des mots complexes (du latin in : dans, medias : le feu, res : l'action, c'est bien connu).

- Mais qu'as-tu donc en tête belle Sofy ?

Sofy sourit malicieusement à George.

- Connais-tu déjà les joies des transports postaux ?

Et, vous vous en doutez, c'est ainsi que s'ouvre le deuxième grand mouvement de notre aventure.

- Les transports postaux ?

Devant le sourire engageant de Sofy, George fut soudain pris d'un doute affreux.

- Sofy, rassure-moi, tu ne veux pas me faxer ? Je t'assure que je ne suis pas sûr de survivre à de telles épreuves...

- Postaux, mon cher George ! Postaux ! Qui ici a parlé de fax ?

- J'ai bien peur de ne pas comprendre belle Sofy... tu veux que je me fasse postier ? Tu as quelque lettre secrète à envoyer à un amant caché et tu ne veux pas passer par l'anonymat de la lettre postale, tu préfères un livreur chevalier qui arrive, la rose à la main, et la tende négligemment à ton bien aimé, vérifiant d'un œil attentif qu'il porte bien ta lettre à son cœur ?

Sofy regarda d'un œil dubitatif l'homme qui se trouvait devant elle. Décidemment, il avait de l'imagination ce garçon ! Est-ce qu'elle avait une tête à livrer ses mots d'amour par chevalier interposé ? Je vous le demande... Heureusement que non, sinon cette histoire deviendrait vraiment n'importe quoi...

- Mais George voyons ! C'est toi qui a une belle à rejoindre ! Pas moi ! Aurais-tu déjà oublié Babou au sourire enchanteur ?

- Oublier Babou ? Ah ! Hélas Dame Sofy, pourquoi es-tu ainsi cruelle avec moi ! Son image à jamais est gravée en mon cœur, et je porte déjà presque le deuil de cet amour qui me semble aujourd'hui impossible...

Impossible ?!! Ca c'était la meilleure... Et dire qu'elle se décarcassait pour les sortir tous de cette situation sans issue ! Dire qu'elle était en train de sacrifier son propre fantasme au bonheur d'une amie et à celui du dit fantasme ! Et il baissait déjà les bras ! Non, non et non !

- George ! Tu vas s'il te plait faire l'effort de me prouver ta bonne volonté ! Je me plis en quatre depuis une heure pour trouver une solution et toi tu me parles d'impossible ? Te rends-tu compte de combien cette réflexion pourrait vexer ta belle Babou le jour où tu la rencontreras enfin ? Mais enfin, comment réagira-t-elle lorsqu'elle se rendra compte qu'elle a écopé d'un chevalier du dimanche pas foutu de croire en l'impossible une demi seconde ? Alors maintenant tu vas venir t'asseoir sur ce canapé à côté de moi et m'écouter calmement... après cela on verra s'il est encore question d'impossible... Non mais !

Penaud, George s'approcha et s'assit en silence à la place que Sofy lui indiquait, et écouta calmement ce qu'elle lui racontait.

Il était question de cheval, de sens de l'orientation, de complexité du chemin à trouver et de peine perdue. Il était question de solution trouvée, de postière prodige (radar à ciré jaune, certainement une histoire de connexion synaptique inexpliquée autour de cette couleur...), de colis, de trous pour respirer, de voyage en somme !

Un silence pesant s'installa un instant. Surprise Sofy dévisagea George, son plan était pourtant parfait, comment pouvait-il ne pas s'en rendre compte ? Mais George ne réagissait pas. Il semblait cependant bouillonner intérieurement. Curieuse, elle l'interpella doucement :

- George ?

Il leva les yeux vers elle.

- Tu as fini dame Sofy ? Je peux parler ?

Elle acquiesça, quelque peu désarçonnée par l'attitude de George... Etait-elle si effrayante que ça ?

George se leva alors d'un bond sur le canapé, et, la main posée sur le fourreau inexistant d'une épée inexistante (volontaire la répétition... tut tut tut, bande de lecteurs critiques), un pied sur le canapé, l'autre sur la table basse, le regard conquérant, il s'écria :

- Babou, belle Babou ! Impossible n'est pas georgien ! (note de la narratrice : impossible n'est surtout pas sofyien, mais mémoire courte est masculin... non, non la narratrice n'est pas une féministe pleine de rancœur déplacée contre la gente masculine, non, elle est juste réaliste et lucide, nuance...) Demain, à l'heure où passe le facteur, sur mon franc destrier, je partirai, vois-tu, je sais que tu m'attends ! J'irai par les colis, j'irai par les chronopostes, je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps ! Je marcherai, les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans regarder la postière, seul, méconnu, le port altier le regard fier, impatient, et ce jour, pour moi, rimera avec amour ! Ah, Babou, Babou... quelles beautés ne me fais tu pas déclamer... Sofy, allons trouver ta postière, car l'amour n'attends pas !

Et c'est ainsi que Sofy et George (et Arvak bien sûr) se rendirent à la poste pour trouver la fameuse postière qui amènerait George jusqu'au lieu où son amour demeure. Vous aimeriez bien aussi la connaître? Vous avez raison, elle vaut le détour... mais tout cela au prochain chapitre amis lecteurs, prochain chapitre!

Mdr sarah, je ne l'ai pas loupé non plus, même si Dean quoi :(

Petit coup de blues, je pense avoir bien raté mon dernier partiel,  le sujet était horrible, ça m'enerve, cette filière ne me plaît plus trop quand j'y pense, rien avoir avec ce que j'esperais, résultat je me demande si je veux continuer l'an prochain ou retenter l'ISIC, j'ai fait une énorme bêtise au boulot, et en plus j'apprend quoi que je vais surement redéménager, ça me déprime.

Je compense en allant faire les boutiques demain, même si je dois être la seule fille sur Terre à haïr cela :(

La tête comme un ballon de basket à lafin du 4eme quart temps, le couer au bord des lèvres , frigorifiée comme si je dormais dehors (dieu merci j'ai un toit ), je m'affale devant mon écran et regarde l'activité des ces 3 dernières heures.

Ah blabla ...

Ah Lea ...

Ah What else ? Love of course ...

Ca se dévore comme une friandise et on en garde le gout sucré du Encore ...

George, je ne quitte plus mon ciré, je t'attends !

(pour la petite histoire, je viens d'aller chercher le courrier ... mince y'a un accusé réception ... pourvu que ce ne soit pas George :s)

Je n'aurais jamais cru voir, lire ou entendre du Victor Hugo ainsi. George est très à l'aise et se veut conquérant pour notre belle Babou.

Heu, je veux bien prendre ta place Babou, mettre un cirée jaune, cela me va bien au teint.

Qui eu cru (à part sofy) que le jaune reviendrait à la mode?

de ma couleur préférée... pas très sympa ça Léa ^^ (oui oui Babou c'est toujours pour toi lol)

@Léa: désolée hier je t'ai abandonné au moment où t'arrivais mais j'étais au tél pour un job et après je suis rentrée car grosse migraine, et ensuite resto avec des amis de bichon...

@George: ça mouline pas bien vite là haut mais je te pardonne :-) Que la fée postale t'aide dans ta quête. Je crois que Bab t'attend de pied ferme

@tout le monde:moi pas encore eu la possibilité de faire les soldes, un peu ce midi peut être et sinon dans la cohue du samedi... O joie!

Année du neuf, du n'oeuf et par conséquent du poussin ...

Pas de toute l'année 2009 est l'année du jaune !

C'est écrit dans tous les calendriers :-)

Sofy! penses-tu réellement que j'oserais ainsi être mesquine quand à ta couleur préférée? Oui?... euh, bon, d'accord j'avoue. Mais 2009 année poussin comme dit Bab, t'es juste une précurseuse!

Oui ça doit être ça...cela dit le jaune était déjà à la mode cet été, na!

Pas de ma faute si je suis une icone fashion, cherchez pas, Kate Moss je lui ai tout appris ^^

Tout? t'es sûre?

Oui, comment draguer Pete? Comment se faire des millions? Par contre comment se cocainer elle a appris toute seule... excès de zèle^^

Quatre jours loin de vous, il me tardait de vous retrouver! Avec en prime la newsletter, la fic de 6 (pas encore dévorées!) et ... le what else de lea of course!

Encore une fois, c'est que du bonheur: mdr sur le coup du "in medias res" (va falloir éviter ce genre de blagues lorsque tu seras prof ma petite, ça peut coûter cher de retirer des trucs comme ça de leurs cervelles! lol) et bien sûr le Hugo, la répétition... On ne s'en lasse pas!

Chapitre huitième : Le facteur était une postière

Mais pendant ce temps là que devenait l'arrière petit cousin au deuxième degré de George ?

Non, c'est bon, ne partez pas, c'est une blague ! Revenez ! Je reprends le récit, je reprends le récit ! Rhooo, c'est bon quoi, c'était pas méchant, une petite blagounette. Pfff, vous n'avez pas d'humour hein...

Où en étions-nous ? Sur le chemin de la poste !

Bon, et bien le chemin, rien de bien particulier à raconter... du coup, paf, paf, petite ellipse, on tombe direct à l'arrivée à la poste.

Sofy, toujours enveloppée de cellophane, George et Arvak arrivèrent donc assez rapidement somme toute à la poste la plus proche de la demeure de Sofy, poste où exerçait justement la fameuse postière, radar de ciré jaune.

Sofy descendit tant bien que mal de cheval (pas facile roulée dans du film plastique... peut-être pire que de marcher avec l'attirail de Babou...), George sauta prestement du dos de sa monture, attrapa les rennes d'Arvak et s'avança lentement vers les portes non-imposantes du bâtiment. La poste était déserte, seule une jeune femme, vêtue du traditionnel costume jaune des postières, attendait dans un coin, regardant en boucle les mêmes épisodes d'une certaine série, ceux mettant en scène son amour de toujours...

- Mademoiselle, mademoiselle...

Aucun mouvement du côté de la postière, absorbée par les répliques cinglantes du dit amour... Ah ! Jess !

Sofy, excédée par cette journée qui décidément ne lui épargnerait rien, était prête à exploser, passer inaperçue alors même que l'on est ligotée tel un boudin blanc dans du film plastique, une fois ça passe, mais deux dans la même journée... quand même c'est trop fort ! Etait-elle donc à ce point transparente ?

Alors qu'elle allait répliquer beaucoup plus sèchement, George se pencha par-dessus l'épaule de la postière.

- Mais, dit-il, c'est Milo ? Que fait-il dans cet écran ?

L'évocation du nom cher à son cœur fit immédiatement réagir la postière. Elle leva les yeux de son ordinateur, avide d'explication, mais la vue de cette étrange troupe lui coupa, pour ainsi dire, le sifflet. Un cheval café, un homme séduisant portant une chemise tachée de café et semblant connaître son bel, et surtout... cette fille plastifiée portant masque et bouteille d'oxygène (qu'il lui semblait avoir déjà vu, mais elle avait du mal à la reconnaître sous l'accoutrement)... Humm, comment dire, ça peut être surprenant, avouons-le. C'est donc bouche bée, incapable de prononcer le moindre mot qu'elle vit s'approcher d'elle le dit homme séduisant. D'elle, enfin plutôt de son ordinateur qui semblait le surprendre particulièrement.

Il regardait, ahuri, les personnages qui continuaient à évoluer.

- Mais... Mimi ! s'exclama-t-il à deux centimètres de l'écran. Mimi ! Mon ami Milo ! Que fais-tu perdu dans cette boîte plate !

Evidemment, vous vous en doutez, Milo-Mimi-Jess ne répondit pas. Affolé, George repris de plus belle.

- Mimi ! Mimi ! Ah, mon Dieu, comment te faire sortir d'ici... tu es prisonnier, c'est cela ?

Sofy leva les yeux au ciel et s'approcha de la postière.

- Lili ? C'est bien cela ?

- Euh... oui...

Lili, toujours sur le coup de la surprise, regardait, sidérée, George coller son nez contre l'écran d'ordinateur, complètement affolé en s'écriant régulièrement, la voix pleine d'une angoisse non feinte : « Mimi ! Mimi ! Mimi ! ».

Sofy posa une main sur l'épaule de la jeune postière.

- Oui, c'est surprenant au début, mais ne vous en faites pas, on s'habitue. Assez vite en fait... au-delà de ces quelques petites choses étranges, il est très attachant.

Lili porta son regard sur la jeune plastifiée à ses côtés. Quelle bande de siphonnés... Reprenant un peu de contenance, elle éteignit l'ordinateur (ce qui déchira littéralement George qui se mit à hurler Mimiiiiiiiiiiiiiii ! jusqu'à ce que Sophie parvienne enfin à le calmer, lui expliquant que Milo Ventimiglia n'était pas réellement dans l'ordinateur...).

- Vous... vous connaissez vraiment Milo Ventimiglia ? demanda au bout de quelques temps Lili à George qui continuait à jeter régulièrement des coups d'œil inquisiteurs  vers l'écran devenu noir.

George se retourna vers elle et se rendit soudainement compte qu'il ne l'avait pas saluée en arrivant. Se reprenant, il fit prestement une révérence gracieuse, baisa la main de Lili, et ajouta, avec entrain :

- George, chevalier servant de la belle Babou, à la recherche d'une postière-radar... Et Milo est un ami.

- Une postière-radar ? C'est moi ça ? Et comment connaissez-vous Babou ?

Sofy s'approcha de Lili.

- Je suis une amie de Babou, Lili, et nous avons besoin de vous.

Je vous passe les détails des arrangements (à noter toutefois une scène de reconnaissance loufoque où Lili reconnaît à travers le cellophane le visage de Sofy qu'elle avait déjà vu sur la fameuse photo, un jour où elle se trouvait chez Babou), et vole directement à la conclusion de la discussion qui s'en suivi, l'honneur en revient à Lili :

- Je suis postière moi, pas colporteuse de chevalier en folie ! Alors si vous voulez que je joue les courriers du cœur et que je vous amène chez Babou, va falloir m'emballer ça vite fait bien fait dans un colis digne de ce nom !

C'est comme ça que George et Arvak son fidèle destrier se retrouvèrent emballés dans un colis (habilement perforés de petits trous qui leur permirent de respirer) à destination de chez Babou, posé sur le porte bagage du vélo de Lili...

Mais que c'est bon! Franchement, le sex appeal de George fond de semaine en semaine avec toi! La bêtise, c'est un tue-l'amour... Pour ça que j'évite le chat en général, et que j'invite certaines de mes amies à le faire également, sous peine d'auto-mutilation de l'intelligence. Mais, excusez-moi, les digressions de lea semblent être contamineuses! oups!

Bref, grand moment de rire et ça fait du bien sachant que je bosse depuis ce matin et que je me galère! Je te dis donc un grand merci pour ce texte, et si jamais George, en guise de reconnaissance, voulait m'arranger un rencart avec Milo, je suis preneuse!

Hête de découvrir la réaction de babou en voyant le colis devant sa porte!

j'essaie de faire remonter sa côte avant que george n'arrive chez babou... ce serait bête tous ces efforts pour rien :-)

Je me confesse, je n'avais pas encore jeté un oeil sur les What else de notre adorable lea.

Aussi me suis-je dit, il faut y remédier  !

Et que de bonheur, je crois que l'arrivée à la poste avec le cheval café est même mon préféré ! (j'ai bien fait de commencé aujourd'hui ;)

Merci M'dame :p et vive la bêtise quand elle est bien faite (avec du beurre dedans?)

Irrésistible Attirance

Mais que m'est-il arrivé ? Comment en suis-je arrivée là ?

Au point de les perdre tous les deux ?

Tout commence lorsque CINDY me propose d'aller en discothèque pour se défouler un peu et se changer les idées suite à la rupture avec son copain BAPTISTE. J'ai été dans cet état là il y a quelques temps : je la comprends d'autant plus !

Cette fameuse soirée en discothèque où nous y avons rencontré TONY et DENIS.

TONY, mon ex, avec qui j'ai gardé contact. Nous sommes restés peu de temps ensemble ; histoire compliqué, il est un peu trop dragueur pour moi qui suis trop fleur bleue. Je me suis toujours demandé pourquoi son cœur est aux abonnés absents lorsque les sentiments interviennent.

Et DENIS, garçon très gentil, très fou qui adore s'amuser.

Nous buvons un verre : un Atomic Hawaii pour moi, trois Caribian Sunshine pour mes compagnons, avec quelques cacahuètes.

Evidemment, deux garçons, deux filles (non, non pas quatre possibilités !!) un vendredi soir en discothèque, ça fait deux couples quelques heurs plus tard !

CINDY et TONY, DENIS et moi.

Nous finissons la soirée chez moi avec croissants, café et carambar !

Tout se déroule pourtant bien : nous passons quasiment le week-end tous les quatre à rigoler, sortir, profiter de l'instant présent.

Puis arrive ce moment où je m'égare, où je me dégoute. Ce fameux lundi soir où TONY m'appelle en pleine nuit vers 2 heures du matin. Il préfère me téléphoner de vive voix car  il s'amuse souvent à dire que « sans SMS, la fête est plus folle ! ».

Cette nuit, où pour aider un ami, car c'est ce qu'il est, je prends quelques affaires, laisse un mot à mes parents et pars le rejoindre.

Cette nuit où tout ce que nous avons vécu ce week-end là bascule.

CINDY lui a téléphoné dans la soirée et a rompu : elle se remet avec BAPTISTE.

TONY, désemparé, que je suis en train de consoler. Et qui tout à coup s'approche et m'embrasse. Mais que fait-il ? Que lui arrive t-il ? Je ne peux pas faire ça à DENIS mais en même temps je suis là à me battre contre cette sensation que j'ai oubliée. Ma tête versus mon désir. Ce corps doux et musclé qui m'appelle, qui m'attire : c'est trop dur de résister !

Et ensuite, sensation de dégoût, de rejet de moi-même. Voilà qui ne va pas arranger ma réputation de fille facile ! Mais quel syndrome s'est emparé de moi à ce moment là ?

Cette nuit là, nous devons l'oublier, n'en parler à personne. Mais le cœur a ses raisons et je ne peux évidemment pas entamer une vraie relation avec DENIS sans lui avouer. Et ne dit-on pas « faute avouée à moitié pardonnée » ?

Mais celle là fut pas pardonné : il me prie, gentiment et poliment, avec un s'il te plait, de sortir de sa vie et de ne plus y remettre les pieds.

Et bien sûr, son amitié avec TONY est mise à mal : DENIS s'est fait trahir par sa petite amie mais aussi son meilleur ami. TONY m'en veux d'avoir tout révélé, d'avoir trahi notre secret.

Cassure de cette belle amitié entre eux deux mais aussi de toute forme de relation avec eux. Eh bien ma belle, on peut dire que tu  fais carton plein sur ce coup là ! Tu réussis en une nuit à détruire une amitié entre deux copains et te griller avec eux au niveau relation !!

La Fontaine l'a écrit avant moi dans Le petit poisson et le pêcheur : Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.

J'aurai dû me contenter de ce que j'avais plutôt que de succomber à celui qui m'attirait !

Défi WW

Hummm... je viens de passer dix minutes à essayer d'ouvrir la porte du bâtiment 18... avant de me souvenir que j'habite au 19... vous croyez que c'est grave?

c'est tout ce que j'ai à dire... mais comme je vois Bab soulever les babines je rajoute un peu de contenu

Léa va falloir dormir un peu et surtout nous raconter ta folle nuit d'hier!!

Belle layette !

bienvenue au club Léa, tu verras on s'habitue et on en rit beaucoup par la suite, des fois ça anime les soirées

J'avoue elle est drôle celle-là :-)

Moi mise à part que j'étais partie pour retirer des places prépayées à la FNAC  soit rapide et indolore financièrement et que je suis revenue avec DVD, bouquins et lingerie ... euh journée habituelle :-)

Ah si, offre de la FNAC : prenez 5 DVD, payez en 3, ca tombe bien ... sur 5 j'en ai pris 2 que j'avais déjà. Ca c'est fait :-)))