Blabla

Merci pour ton com, et désolée d'avoir fait un peu de HS mais lorsque j'ai lu les mots, c'était une évidence pour moi. Alors pour une fois que j'étais inspirée!!!

Par ailleurs, j'ai beaucoup aimé mon texte et la dernière phrase m'a fait bien rire! ;-)

Les défis ont un appart rien qu'à eux, fini la coloc !!!

Désormais c'est ici et j'en profite pour signaler que c'est aussi mon défi relevé ^^

Ps pour Lili : moi aussi j'a adoré la fin de ton défi :D

Défi relevé dans la nouvelle aire de jeux (viens de me rendre compte que j'ai écrit ère tout à l'heure dans les défis, shame on me :s )

Lili59, j'adore ton texte les mots sont maniés à la perfection XD

à blabla n parle de tout et de rien.. pourquoi pas un petit texte lugubre tout droit sorti de mes tiroirs craniens? ^^^

Allez et vive blabla :p

Coincée elle était coincée.

Elle le voulait. Elle le désirait plus que tout au monde. 

Jamais elle ne s'en saurait cru capable et pourtant...

Il l'avait détruite. 

Sa vie confortable, sa petite bulle merveilleuse où elle se sentait si bien avait était réduite à néant. 

Le regard dans le vide et les crampes à l'estomac elle s'en saisit. 

Elle le voulait tellement, elle en avait tellement besoin. 

Elle savait qu'il finirait par la tuer, par l'emporter là où il les avait tous emporter. 

Mais peu importe, à ce moment là, ce moment où les battements de son coeur sonnaient aussi fort qu'un obus s'écrasant sur une maison, à ce moment où la sueur envahissait son visage, rien n'importait à par lui. 

La main crispée et grelottante elle tendit le billet vert à l'autre main tendue. 

Le petit sachet une fois sur la table, elle s'empressa de le déplier. 

...

Elle ferma les yeux et planta la seringue au creux de son bras. Elle voulait sentir le liquide se répandre dans ses veines. Glisser tel un spectre à travers son corps. 

Mais l'effet escompté était trop faible, il lui en fallut encore. 

Sous la pression de son propre corps elle augmenta la dose et s'inséra une nouvelle fois l'aiguille dans la plaie. 

Peu importe la douleur...

L'extase, le frisson, le corps froid sur le carrelage.

Fuir la ville, fuir les gens. Fuir le gris, fuir le bruit. Fuir.

Quitter un instant la cité urbaine, quitter l’usine. Quitter ce monde où la douleur est de mise.

Cette île. Je voudrais retourner sur cette île.

Ces minutes sont en moi, à tout jamais.

Du haut de la falaise où les verts s’entremêlent, je contemple la mer bleu marine, infinie, encadrée à gauche par le désert, à droite par le cap. Le soleil, las de sa lente chevauchée, songe avoir trouvé en ces ondes délicieuses une couche pour se délasser. Or la voûte céleste résiste, elle refuse de voir son amant rejoindre si aisément le lit d’une autre. Elle perd sa triste teinte bleutée et s’enflamme en un brasier jaune, orange et rouge. Qui, du ciel ou de l’eau, remportera la mise ? La lutte est acharnée, le dénouement implacable. Car le soleil finit toujours par rejoindre sa maîtresse qui, telle une mente religieuse, dévore l’astre, petit à petit, savourant avec un délice sanguinaire le moindre des rayons. A la mort du roi soleil, les couleurs courtisanes s’en vont une à une : d’abord le magenta, puis le violet, enfin l’indigo. Il ne reste alors au ciel qu’à revêtir sa robe d’usage, aussi noire que son veuvage.

Je suis émue, toi aussi. Tu es là, derrière moi, entourant de tes bras notre silence éloquent. Tu n’es pas un Sawyer, ni un Witter, encore moins un Bauer. Mais tu es mien, donc meilleur. Tu es toi aussi une force fragile qui m’épaule autant que tu ne me brises.

Nous sommes heureux, heureux d’un bonheur malheureux : nous savons que l’utopie s’achèvera demain.

*     *     *

Je remets le texte ci-dessous en mettant en gras les conjonctions de coordination, en italique les oxymores et en soulignant les mots commençant par un u. Pour les 3 réfs, pas de souci. Mon défi supplémentaire, c'était de mettre les 7 couleurs de l'arc en ciel.

Fuir la ville, fuir les gens. Fuir le gris, fuir le bruit. Fuir.

Quitter un instant la cité urbaine, quitter l’usine. Quitter ce monde où la douleur est de mise.

Cette île. Je voudrais retourner sur cette île.

Ces minutes sont en moi, à tout jamais.

Du haut de la falaise où les verts s’entremêlent, je contemple la mer bleu marine, infinie, encadrée à gauche par le désert, à droite par le cap. Le soleil, las de sa lente chevauchée, songe avoir trouvé en ces ondes délicieuses une couche moelleuse pour se délasser. Or la voûte céleste résiste, elle refuse de voir son amant rejoindre si aisément le lit d’une autre. Elle perd sa triste teinte bleutée et s’enflamme en un brasier jaune, orange et rouge. Qui, du ciel ou de l’eau, remportera la mise ? La lutte est acharnée, le dénouement implacable. Car le soleil finit toujours par rejoindre sa maîtresse qui, telle une mente religieuse, dévore l’astre, petit à petit, savourant avec un délice sanguinaire le moindre des rayons. A la mort du roi soleil, les couleurs courtisanes s’en vont une à une : d’abord le magenta, puis le violet, enfin l’indigo. Il ne reste alors au ciel qu’à revêtir sa robe d’usage, aussi noire que son veuvage.

Je suis émue, toi aussi. Tu es là, derrière moi, entourant de tes bras notre silence éloquent. Tu n’es pas un Sawyer, ni un Witter, encore moins un Bauer. Mais tu es mien, donc meilleur. Tu es toi aussi une force fragile qui m’épaule autant que tu ne me brises.

Nous sommes heureux, heureux d’un bonheur malheureux : l’utopie s’achèvera demain.

Dans la lumière sombre de la nuit, mon esprit vagabonde. Il survole la ville à la recherche de son Angel.

Ton souffle, ton regard me perturbe. Le sens-tu ? Ange démoniaque, tu en joues. Et moi pauvre pantin animé entre tes mains, j'en redemande. Je ne suis pas ton unique. Tu n'es pas le seul. Mais dans le bonheur terne des jours et des nuits qui s'enchaînent, tu me donnes le goût savoureux de légèreté.

Tu entends mes cris silencieux et tu devines la fragilité de ma force quand tout vacille, ultime rempart à la folie qui me guette parfois. Or toi tu sais quel uppercut me décocher, pas besoin d'être un Peter Petrelli ni même un super héros ou le Dr House pour me sauver.

Le même sang coule en nous. Celui des êtres torturés par un démon qui prend sa force dans nos douleurs. Enfouies, cachées, inavouées, dissimulées. Utopie donc de penser nous exorciser.

Le jour se lève et j'hésite à te dire merci. Car tu es la petite faiblesse qui me perdra. Le vampire restera toujours un être obscur qui entraîne avec lui vers la noirceur de la nuit.

Ps : aucun " ! " ni "  ... " Trop dur ! ! !Et j'ose espérer n'avoir fait aucune faute de ponctuation ce qui serait plus que remarquable hein mon double ? Trois difficultés :-)

Dans la lumière sombre de la nuit, mon esprit vagabonde. Il survole la ville à la recherche de son Angel.

Ton souffle, ton regard me perturbent. Le sens-tu ? Ange démoniaque, tu en joues. Et moi pauvre pantin animé entre tes mains, j'en redemande. Je ne suis pas ton unique. Tu n'es pas le seul. Mais dans le bonheur terne des jours et des nuits qui s'enchaînent, tu me donnes le goût savoureux de légèreté.

Tu entends mes cris silencieux et tu devines la fragilité de ma force quand tout vacille, ultime rempart à la folie qui me guette parfois. Or toi tu sais quel uppercut me décocher, pas besoin d'être un Peter Petrelli ni même un super héros ou le Dr House pour me sauver.

Le même sang coule en nous. Celui des êtres torturés par un démon qui prend sa force dans nos douleurs. Enfouies, cachées, inavouées, dissimulées. Utopie donc de penser nous exorciser.

Le jour se lève et j'hésite à te dire merci. Car tu es la petite faiblesse qui me perdra. Le vampire restera toujours un être obscur qui entraîne avec lui vers la noirceur de la nuit.

Ps : aucun " ! " ni "  ... " Trop dur ! ! !Et j'ose espérer n'avoir fait aucune faute de ponctuation ce qui serait plus que remarquable hein mon double ? Trois difficultés :-)

Défi par-ci, défi par-là, et hop c'est reparti pour un tour, et pas des moindres si j'ai tout bien suivi, car les jeux de mots fusent de plus en plus et les attentes nous prennent au dépourvu. Ni plus ni moins que cinq oxymores ! De quoi faire des nœuds aux cerveaux les plus perspicaces, d'autant plus que, pauvres de nous, nous ne pouvons pas nous reposer sur les pouvoirs d'un quelconque Peter Petrelli ou sur le brillant esprit torturé d'un Hank Moody ou encore, jamais deux sans trois, sur l'impressionnante capacité de contorsion du raisonnement d'un Gaïus Baltar que nous aurions, bien entendu, croisés dans une rue d'une extraordinaire normalité. Non, non malheureusement la vie ne nous épargne rien et l'on se retrouve donc ainsi à aligner des mots en espérant arriver à dire quelque chose de censé malgré tout. Triste bonheur me direz-vous qu'une si basse prétention, mais bon, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, or, aucun doute là dessus, pas de super pouvoir. J'ai bien essayé le ukulélé (instrument très magique bien entendu qui peut, à tout prendre, remplacer les supers pouvoirs, d'ailleurs la lampe d'Aladin a failli être remplacée par un ukulélé, mais au dernier moment un je-ne-sais-qui a du juger que ça ne collait pas tout à fait à la situation, allez savoir pourquoi...), mais de toute évidence (réaction unanime, je vous promets) il vaut mieux se tourner vers autre chose, comme quoi le doux grésillement qu'émettent des cordes grattonnées par quelqu'un n'ayant absolument pas l'oreille musicale ne font pas consensus... à se demander où va le monde, bref, passons. Débattons-nous donc avec les mots il finira forcément par sortir quelque chose de ce joyeux bazar ! (un peu rude tout de même les cinq oxymores, dit la fille qui a sur ses genoux le dictionnaire ouvert au « U »...) Et comme l'usage veut que l'on finisse comme l'on a commencé (l'usage ne veut rien, mais bon ça commence par u, donc pour aujourd'hui, l'usage voudra) surtout ne disons rien d'utile, on ne sait jamais, ça pourrait mettre à mal cette sympathique prise de tête !

Défi relevé, et avec comme difficulté supplémentaire aucun verbe être conjugué. Ah, et je viens de me relire, promis, la prochaine fois, je réduis sur le nombre de parenthèses...

Aie ! Et voilà je suis étalée de tout mon long ... Encore...

Un point virgule cette fois-ci ? Et non ! Juste une racine. Si au moins cela avait été un rhizome, du gingembre par exemple, j'aurai pu lui trouver une utilité... Mais là ...

A part m'écorcher les genoux, rien à en faire.

Mais je rêve ou cette racine bouge ? ... un plante vivace à apprivoiser ? ... non un défi à relever .. je viens de butter dans une synapse hyper active ! Mais où suis-je encore aller me perdre ?

Dans la forêt interdite d'un esprit coquin sans aucun doute! J'ai du louper une passerelle ... pire que Poudlard nos cerveaux !

Je vais avoir besoin de ma boussole pour me sortir de là et venir m'attabler avec toi pour déguster quelques palabres.

Promis je ferai preuve de tact quand je t'annoncerai que c'est un sacré bordel dans ton esprit ! Et je surveillerai ta réaction sur ton visage .. contenant difficilement mon sourire jubilatoire face à la victoire.

Mais pour cela ... help !!! Lili ma boussole a perdu le nord ... je suis coincée entre la rangée SM et SQ de ton esprit ... HELP !!!

Le courrier du cœur des métronautes

Lorsque j'ai vu l'expression de ton visage changer si brusquement, le 10 janvier dernier, je n'ai pu me résoudre. Je t'ai abordé sans réfléchir et sans aucun tact, tu m'as rejetée. Sans doute, la douleur encore trop présente d'avoir vu l'élue de ton cœur avec un autre sur cette passerelle a guidé ton geste.

Têtue, j'ai insisté. Je ne sais ce qui t'a fait changer d'avis mais tu t'es laissé apprivoiser. Autour d'un café, nous nous sommes attablés et, force de palabre, nous avons extrait ensemble le rhizome de ce qui venait de devenir ton ancienne relation. Ma plus grande récompense fût de te voir recommencer à sourire.

Alors que je venais de t'aider à retrouver la raison, ma boussole interne s'est déréglée quand tu as repris ta route. Nord, sud, est, ouest, je ne sais par où tu es parti mais j'espère de tout cœur que les journaux du matin sont ta lecture favorite. Car lors de ces quelques minutes jubilatoires, mes sens se sont affolés.

Je suis tombée amoureuse de cet homme dynamique et drôle que je venais de rencontrer. Amoureuse de tes yeux rieurs et de ton sourire chaleureux.

Amoureuse de toi, inconnu croisé le 10 janvier 2008 à la gare Monparnasse.

L'agent RATP sans gêne qui t'a "taxé" 20 minutes de ta vie.

Certains passent leur vie à chercher qui ils sont. Pour d'autres c'est une évidence.

Je fais partie de cette deuxième catégorie. Pas besoin de boussole pour m'aiguiller, je me laisse tout simplement guider.

Au départ, un simple tas de papier où de longues tirades s'en suivent les unes derrières les autres.

Il s'agit ensuite des les apprivoiser, de les faire devenir sienne afin de préparer le grand saut.

Il arrive enfin, le premier soir. Tant d'excitation, d'émotions et d'angoisse!

Je suis derrière le rideau. Je m'attable afin de maquiller et masquer ces traits qui sont les miens.  Il est tant de, non seulement, endossé le costume mais aussi de l'habiter. Le passerelle est franchie : 

Je ne suis plus "moi", je deviens "elle". 

Le rideau est rabattu de part et d'autre de la scène. 

Les murmures disparaissent et laissent place au silence.

Lumière, l'entrée en scène...  Les palabres des répétitions prennent un sens encore jamais entrevu. 

C'est jubilatoire. 

Je m'oublie, oui je m'oublie à travers les mots, les rires et les noirs suivis d'applaudissements.

Ce personnage, qui me paraissait jusque là inconnu, fait peu à peu parti de moi.

Le rhizome de mon être sort enfin ses premières branches. Une renaissance à la fois magique et fascinante.

Mon visage s'est métamorphosé, L. n'est plus. 

Je suis C. 

Je lui donne une vie, un regard, des expressions. Je cherche à atteindre ce qui semble le plus juste, le plus près du désir de l'auteur. 

S'en suivent regards, échanges avec la salle et les partenaires. Ces partenaires que j'affectionnent tant...

Nous échangeons pour donner et nous recevons tellement en retour!

Dans cette petite salle confite de monde, tu es là. 

Toi, ton charme légendaire qui me retourne à chaque fois le ventre. 

Toi, le seul homme qui a réussi à me faire chavirer moi, l'éternelle insatisfaite. Tellement de tact dans tes mots, tellement de sang chaud dans tes veines... Et tu me regardes.

Alors, forcément, lorsque vient le temps des révérences je ne peux que déguster ce moment magique.

Mieux qu'un orgasme, plus violent qu'une lame de sabre... 

Il n'existe, à ma connaissance, aucun mot pour exprimer ce trop plein d'émotions.

Je vis, je suis moi, je me suis trouvée,  et là, je suis sûre de ne jamais me perdre.

je viens de relire et de voir toutes les horribles fautes, je sais même plus conjuguer : milles excuses!!!

Stupid lolia 

... irrésistible de vous faire partager ma joie d'hier! Premier rendez-vous avec mon directeur de master, j'explique mon projet, il semble plutôt perplexe au début, mais après trois bon quarts d'heure d'échange de point de vue il semblerait que personne avant moi n'ai eu le cerveau suffisemment tordu pour trouver une filliation entre Flaubert et Beckett, mais que je suis plutôt convaincante dans mon plaidoyer pour défendre cette assossiation surprenante! Il a même conclu par un "c'est très prometteur" qui me fait encore sourire jusqu'aux oreilles!

Houra!

Lien entre Flaubert et Beckett? Vas-ty développe en 10 lignes car tu m'as mis l'eau à la bouche là! Félicitations en tous cas!

J'en profite pour souhaiter un excellent anniversaire à lolia! Profite bien de ta journée, mais attention à ne pas manger trop de gâteau au chocolat! ;-)

Euh... je ne sais pas si je peux faire aussi court... mais ça sera basé principalement sur la question du "rien" et celle de l'indicible. Ecrire sur rien pour arriver à saisir l'indicible, pour mettre à jour la fausseté des rapports humains qui sont basés sur un langage défectif et superficiel et enfin pour souligner l'incapacité du langage à rendre intelligible l'essentiel.

Je ne sais pas si je suis très claire, je viens de me relire, et je ne crois pas l'être... mais bon dix lignes, c'était pas possible, j'arrive même pas à me comprendre moi-même en dix lignes...

Tu oublies qu'une autre parti de mon travail est d'arriver à comprendre ce qu'on veut bien vouloir me dire! lol

Bref, j'ai compris. Tu pars des théories respectives des auteurs en montrant qu'elles se recoupent sur leur objectif finalement, et ce même si elles empruntent des genres littéraires et des registres différents.

En 10 lignes, tu m'as convaincue. Je n'y avais jamais songé, mais c'est fort juste! Bravo! En plus, disserter sur l'indécible, j'en serais tout simplement incapable... Alors encore bravo!

Heu.. Excusez-moi ? Bon, j'avoue que j'ai tendance à ne plus trop me balader sur les forums, surtout ici parce que j'arrive toujours avec quatre ans de retard et je me perd ! Donc voilà, j'ai pas compris le but du War Word ! Enfin, surtout les "défis" ? Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ? S'il vous plaiiit ! :)

Pour résumer War Word et les défis ... En fait c'est un jeu . Tu y trouveras le principe dans le topic Ward Word dans Gaming Zone

L'objectif est de relever un défi littéraire qui a été lancé dans le topic WW.

Chaque défi est différent. On a tous les forums ainsi que les short stories pour y répondre, c'est sans durée de temps et sans gagnant ... Juste le plaisir de se surpasser et de jouer avec les mots !

Si pas clair, mpise moi !

Mais dans "mpise-moi", j'entends "piz"! Ah satan, tu commences donc à jouer avec le feu! ;-)

L'aurais-je fait exprès ??? Pas mon genre :D

Mercii Babou !

J'attend la prochaine relance et je me lancerai peut-être dans l'aventure !

Pretty, tu prends le train en route ... le défi a été lancé ce matin c'est Viellefan qui l'a lancé et à priori le délai est long ^^

Donc pas d'excuse !

Holala désolé, excuse réelle : depuis ce matin je crois qu'on est jeudi, et je me disais que vendredi, c'était un peu tard ! A coté de la plaque là Pretty !

( C'est ce que m'a dit ma prof d'histoire .. Hm )

Ok, je vais donc y réfléchir !

Voici, voilà le nouveau défi lancé par notre chère babou ;)

Je ne sais pas trop en penser, je vous laisse juger, pour ma defense je dirais, mon cerveau est au point mort mdr.

***************

Repenti

Je me lève ce matin, le visage triste et les yeux gonflés, et  c'est là que je vois les pétales de roses que tu as déposé sur mon lit.

Je tend la main et en prend une entre mes doits, son délicieux parfum m'atteint immédiatement, je ferme les yeux et  c'est à ce moment là que je le vois.

Ce petit bout de papier que je t'ai laissé, comment une chose aussi minuscule  a-t-elle bien pu faire autant souffrir ?

Je ne comprends toujours pas, je ne comprendrais jamais.

Je suis rentrée hier soir et tu n'étais déjà plus là, tu n'as même pas laissé un seul vêtement, pourquoi ?

Je n'aurais jamais du faire cela, te dire ces mots, je ne les pensais pas, tu aurais dû le savoir, mais non, tu as préféré prendre le large et partir sans dire mot et ce avant même de me demander une explication.

Je ne pensais pas être capable de te faire souffrir, je ne sais pas pourquoi j'ai fait cela, mais je le regrette.

Ma vie est un vrai cratère sans toi, toi qui m'apportais un tel équilibre, tu as littéralement changé ma vie.

Et je m'en veux, je m'en veux, comment ais-je pu être aussi égoïste ? Comment ne pas s'en vouloir ?

Je repense à notre première rencontre, nous étions fait pour nous aimer, l'une des équations la plus simple à résoudre, nous étions destinés l'un à l'autre.

Je repense à cette journée autour de la fontaine, je n'ai jamais été aussi heureuse, je ne le serais jamais autant qu'à cet instant où tu m'as  dit ces mots « Je t'aime ».

Sept ans, sept années se sont écoulées avant de te trouver mais finalement je ne regrette pas ces années perdus sans toi, tu as été présent durant les moments que sans toi, je n'aurais pu surmonter.

Serait-ce cruel de te dire que je te hais ? Simplement car je t'ai connu, je t'ai aimé, et maintenant que tu es parti, que vais-je faire, que puis-je faire sans toi à mes côtés ?

Cette haine est bien là , je ne l'invente pas elle se situe dans chaque partie de moi, je me hais encore plus que je ne te hais.

Si seulement je ne t'avais pas dit cela, comme un citadin, tu es parti d'un pas pressé.

En rentrant chez moi, chez nous, je n'ai trouvé que ces pétales, des bougies encore toutes chaudes, je sais que je t'ai déçu, je n'ai pas été à la hauteur.

Tu t'es braqué, tu n'as même pas voulu écouter, et maintenant, il est trop tard, trop tard pour te dire que nous sommes désormais deux à qui tu manques.

Cet enfant ne connaîtra jamais son père, si tu n'avais pas pris la route ce jour là, si je ne t'avais pas dit cela, tu le verrais grandir avec moi.

Je m'en voudrais tout au long de ma vie, et ce jusqu'à ce que je te rejoigne et que ne nous nous retrouvions.

Je suis désolée, au revoir. 

Ragg', qu'est-ce que je viens de voir! Mais c'est ton birthday today!

Alors JOYEUX ANNIVERSAIRE ragg' pour tes 22 ans!!

Prépare le champagne (enfin pour moi du Champomy!!), je débarque à Nantes ce soir!

Bises.

Y'a peu d'hommes sur ce forum Nan, tu as raison, faut les chouchouter !

Par contre, pour le champagne tu risques de l'attendre un peu ... il s'est envolé à l'autre bout du monde le canari ;-)

Happy birthday Rag, dont' forgotten to come back. Surfing is not the real life ;-)

...il me semblait bien avoir lu ça quelque part mais je ne m'en souvenais plus!!

Bon ragg' alors je ne débarque pas ce soir à Nantes mais plus tard!! Réserve donc la bouteille au frais!!!

Quatre jours. Quatre petits jours pour me préparer au grand saut. Au revoir pelles et seaux enfantins, bonjour STRESS et tailleur citadin.

Me préparer aujourd'hui aux prochains mois, aux regards braqués sur moi, me préparer à garder l’équilibre entre autorité et jovialité. Enseigner, c’est résoudre constamment l’équation entre imposer et partager. Souvent, c’est éteindre les cratères de COLERE qui s’animent en eux … ou en moi. Quelquefois, c’est admettre que je ne sais pas.

Etre face à eux, être avec eux. Me laisser envahir par ce BONHEUR de pouvoir leur être utile. Leur montrer doucement que les mots ne sont pas des maux. Leur montrer qu’avoir foi ne les affaiblira pas.

Non ce n'est pas ma plaque d'immatriculation !

Happy birthday à Pretty pour ses 16 ans.

La meilleure responsable des liens de tout la matrice !

Et vu qu'elle est toute jeune, ca nous promet encore des années de qualité pour VM :D

Amuse-toi bien ... 16 ans c'est le plus bel âge !

Bisous !