Blabla

Joyeux anniversaire.

Profite en bien!! babou a raison 16 ans c'est la plus bel age.

Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire pretty, joyeux anniversaireeeeeeeeeeeeeeeee!

Bon je crois que tu as compris le message lol

Profite bien de ta jeunesse (genre j'ai 80 ans...)!

Joyeux anniversaire!!!!

A notre responsable des liens, je souhaite un joyeux 16ème anniversaire!!

Profite bien de toutes tes années : après elles passent vite!!

Bises

Tout d'abord, je souhaite moi aussi un excellent anniversaire à pretty, profite bien de cette journée!

Maintenant, défi War Word... J'ai décidé d'écrire ma journée, puisque je suis incapable, et que je n'ai pas envie, d'en parler...

Premier jour de classe. J'arrive au collège, nerveuse certes, mais impatiente : j'aime mon métier, il m'a cruellement manqué. Et puisque aimer, c'est la moitié de croire, à cet instant je crois encore que les retrouvailles seront agréables.

La sonnerie. Aller chercher les élèves dans la cour, en multipliant les pirouettes pour éviter les bousculades. La classe. Déjà calmer les élèves, énervés par la lumière qui ne s'allume pas. Les présentation. Laisser tomber un instant le masque sévère, aborder un sourire aguicheur pour les apâter. Le cours. Assister quasi-impuissante aux événements qui se précipient : les chérubins se lèvent, se baladent, bavardent, crient, contestent, agressent, réduisant à néant le fruit de mes préparations.Tenter un coup d'éclat, ramasser quelques carnets. Laisser le calme revenir ... moins de trois minutes.

A 9 heures, je suis épuisée, lessivé. Il n'y a rien de plus fatiguant qu'un esprit triste ... et pas seulement pour les autres.

A midi, je n'ai plus qu'une idée: rentrer chez moi, en exil dans ma chambre aux rideaux fermés. Le meilleur moyen de résister à la tention, c'est d'y céder. Je me sers un verre, pleure de tout mon soûl. J'ai envie de crier aussi, mais je ne le fais pas.

Le plus gros travail du professeur, le plus ardu, débute pour moi: réfléchir à mes erreurs, les analyser, les décortiquer. Je ne peux me contenter d'arguer que l'enfer c'est les autres. Il faut trouver des solutions, et vite.

Car lundi, c'est vaillante que je retournerai combattre ces démons, combattre mes démons.

que je t'avais vu quelque part !!! Tu as joué dans Buffy contre les Vampires.

Je t'envoie en colissimo le stock de pieux ... à utiliser si besoin avec Giles ^^

Courage mon double ...

A tout le monde ! J'avais pas vu tous ces messages et ça m'a fait bien plaisir ! N'exagérons rien, je suis pas la meilleure responsable des liens ! ( Restons modeste :p )

Re-Merci, et plein de bisous ! :)

C'est un lieu surprenant au premier abord. On tombe sur lui plus ou moins par hasard, à la recherche d'une quelconque information sur notre petite blonde sarcastique préférée, attirés peut-être par son nom aux consonances à la fois mythologiques et psychanalytiques. On entre, doucement, furtivement, sans frapper. Un peu timide, toujours un peu timide au début. Et l'on découvre en spectateur muet ce surprenant univers grouillant de vie, de joie et de rencontres. On l'observe, fasciné. On ne sait que dire, on ne sait que faire, on est un peu désorienté. On perd pieds, on perd rhizome, on perd tout ! Il fait un peu peur ce nouveau monde, il fait un peu peur car il n'est tellement pas ce à quoi on s'attendait. Rappelons-le, ce n'est pas l'aventure que l'on cherchait, ce n'est pas l'aventure mais une simple et basique information. Une quelconque date, photographie, renseignement stérile. Pas cette projection de nos héros confrontés à un quelconque nouveau krach boursier. Pas ces jeux de mots qui fusent. Pas ce grouillement splendide et joyeusement exubérant.

On s'approche un peu plus, et l'on commence à lire. On commence à découvrir les acteurs de cet enchantement par ce qu'ils écrivent. C'est alors que l'on comprend réellement ce qui anime ce monstre fabuleux. Des rapports humains sincères, socle solide et indestructible de l'effroyable machine. Des gens derrière les pseudonymes. Des gens que l'on découvre, avec leur sensibilité, leurs qualités, leurs failles, leur présence. Des personnes touchantes que l'on va découvrir par ce qu'elles écrivent. C'est  ce moment là que l'on décide de s'inscrire. De participer aussi, de devenir écaille du grand serpent, de la bête monstrueuse. D'être un petit wagon accroché à cette surprenante locomotive.

Je suis moi-même devenu wagon quand je n'ai plus pu me taire face à ce projet fou, effrayant de grandeur, de rigueur et de virtuosité. Je ne pouvais y croire, ils... vous l'aviez faite revivre. Il fallait parler, il fallait que le wagon devienne volubile. Je crois l'être devenue. Timidement au début. Toujours un peu timide au début. Mais de moins en moins. J'ai croisé un requin aux dents pas si longues que ça et au sourire engageant. J'ai croisé plusieurs petites fées qui de leur doigts habiles donnent vie au grand monstre. J'ai croisé des oreilles attentives et compréhensives.

Alors, qu'une chose à dire, si vous hésitez encore, entrez ! On ne vous jettera pas la pierre, Pierre !

Peut-être même qu'on vous racontera une petite blague pour vous mettre de bonne humeur, allez, une pour la route : Monsieur et Madame Uncoud'boule ont quatre enfants, comment s'appellent-ils ?

Emma, Anne, Hervé, Jérémie.

Allez, no comment.

Je suis bien triste aujourd'hui... Il semblerait que le quartier soit déserté...

J'ai posté sur à peu près tous les topics, posé des questions, répondu à des défis et commenté les épisodes virtuels en cours. J'ai beau rafraichir la page toutes les 10 min et surveiller le chat aucune trace de VM addicts...

Si vous aussi vous errez sur le quartier pensant y être seul aujourd'hui faites moi un signe avant que je ne me transforme en Will Smith en mode I Am A Legend lol

J'attends vos signes ;-)

hum hum... et bien moi je suis la...

Cool je ne suis plus seule!!

je suis là aussi! ^^

L'addiction silencieuse est-elle une maladie ?...
Réponse oui : un signe de la tête... Réponse non : un signe de la main.  ^^

Allez, rien que pour vous faire marrer, je vous dresse le portrait d'une journée de prof, ok? Mardi 21 octobre: une journée comme les autres sur la planète Education Nationale!

Note a posteriori: je me suis lâchée, je ne vous en voudrai pas si personne ne lit! Mais en tout cas, ça m'a fait du bien!

8h-10h: 6ème. Très gentils les 6èmes, il faudrait seulement qu'ils comprennent que lorsque je pose une question, si 21 voix me répondent en même temps, je ne comprends pas. Mais globalement, c'est plutôt sympa. Sauf à l'intercours bien sûr, lorsque Brendon fait tomber Dylan de sa chaise et que, lorsque ce dernier ose se plaindre à moi, Brendon se met à l'insulter. Puis à refuser de travailler. Finalement à faire des menaces pour "l'après-école" en plein milieu de mon cours. Mais globalement, ça va! Non?

10h: 5ème. Ah les 5èmes... Le bavardage incarné. Mais attention, pas le bavardage de mon temps où on murmurait à son voisin et où on passait un petit mot lorsque c'était trop loin! Non, bavardages nouvelle génération! Vous voyez, plus proche de "Scream" que de "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" Ah, ne pas oublier Kelly, qu'on a déjà viré une fois, qui la veille a repeint la moitié de sa table en bleu et qui aujourd'hui est le bouc émissaire de toute la classe qu'il faut donc contrôler. Du coup, j'hurle tellement que je pars dans une quinte de toux tellement énorme que les larmes me montent aux yeux. A la fin de l'heure, je note des observations dans des carnets. Mais là, Steeve, pas content du tout, déclare qu'il va aller se plaindre au directeur. 19 élèves à contrôler au lieu d'une, fastoche! Non?

11h: 4ème. Là, je peux pas dire, j'adore cette classe (pas d'ironie) J'ai seulement 4 élèves difficiles. Le truc, c'est que lorsqu'on passe à l'interro en fin d'heure, Brian dit "ta mère" à Kimberly qui commence à lui répondre. Je précise que Brian et Kimberly sont situés à l'opposé de la classe, que donc ils hurlent et que donc les autres arrêtent de travailler leur interro. Je me dirige vers Kimberly, tente de la raisonner, rien à faire. Je menace de lui retirer sa feuille, pas mieux. De la virer, elle me répond "tant mieux" J'exclus donc Kimberly, mais je l'envoie exceptionnelement seule au bureau puisque les autres font l'interro. Lorsque ça sonne, Brian redit "ta mère", mais cette fois-ci à Brenda. Ah, là, ils se lèvent et vont pour s'agripper. Il faut donc que je m'interpose, craignant vraiment de finir avec un fard à paupière bleu gratis pour les jours à venir. Finalement, je fais sortir Brenda et je garde Brian avec moi quelques instants pour qu'elle s'éloigne. Je le laisse finalement partir après avoir eu sa promesse de ne pas se battre. Bref, une heure plutôt tranquille... Non?

12h: la pause! Ah oui, mais non. Ben oui, parce qu'il faut quand même que j'aille demander à la CPE si Kimberly a bien été dans son bureau après l'exclusion. Mince, il y a la queue pour la voir, et notamment quelques uns de mes 6èmes dont je suis la prof principale. Ils commencent à me raconter que Brendon (rappelez-vous, la chaise!) martyrise toute la classe et ils me donnent pas mal d'exemples, notamment celui d'un élève qui n'ose plus se changer dans les vestiaires avant l'EPS pour ne pas se faire frapper. Ou encore celui d'un autre dont il a arraché le carnet... Parmi les élèves présents devant le bureau, il y en a un qui me pose problème depuis des jours. Quand la CPE ouvre finalement la porte, on règle ce problème. Puis elle m'informe que non, Kimberly n'est pas venue la voir. Il est 12h20. Il me reste 1h05 pour rentrer chez moi, déjeuner et repartir. Trop long, chouette! Non?

13h30: autre classe de 5ème. Alors là, je me fais pas d'illusion: 3 minutes de silence avec eux, c'est la paradis. 3 minutes sur 55... Sans oublier Dick! Ben oui, parce que Dick claque à son voisin: "je toucherais bien le cul de la prof" Ah oui, là, forcément, c'est vraiment trop facile de récupérer le calme ensuite. Non?

14h30: Pause. Copies, heures de colles à fixer, préparation de la réunion avec les parents de 6èmes...

15h30: 6ème (demi-groupe) Heure de vie de classe. Bref, l'heure où on parle de ce qui va ou pas dans la classe dont je suis prof principale. Bon, déjà ça commence mal par ma faute: j'ai perdu mes clefs. Je les retrouve après 15 minutes. Justement! La CPE arrive dans ma classe: un des élèves de l'autre groupe s'est fait voler son crayon plume ce matin. Grosse discussion, menaces... Elle repart bredouille. Je fais donc travailler mes élèves sur la notion de vol, mais je n'obtiens toujours rien.

16h30: 6ème (même demi groupe) Soutien scolaire. Oui sauf que pour eux soutien scolaire, c'est entre eux qu'il faut se soutenir! Impossible d'avoir tout le monde assis plus de 5 minutes. je valse de l'anglais au français aux maths (!!!) (j'ai réussi!!!!!!!) tout en trouvant une occupation à Brendon qui n'a pas jugé bon de ramener ses devoirs: je lui prête le livre qu'on étudie actuellement, sauf que monsieur n'a pas envie de lire et fait donc tout pour détourner l'attention des autres. A la fin de l'heure, Donna vient me dire que le bruit court que c'est X qui a volé le stylo. Elle affirme qu'elle en est sûre.

17h30: rencontre avec la maman de Brendon qui apprend l'attitude de son fils.

18h30: retour à la maison, avec plutôt le moral. Après tout, pourquoi ne l'aurais-je pas?

Ah, au fait, pour ceux qui s'inquiètent de stylo plume: son propriétaire l'avait en fait prété à son voisin de classe, il a donc récupéré son bien!

tu me fais peur là avec tes élèves!!

moi qui veut devenir prof, je trouve ça décourageant!

bon courage à toi!!

Non mais t'inquiète, j'étais sérieuse lorsque je disais que ça allait! Bon, ok, le premier jour j'étais à ramasser à la petite cuillère.

Mais mon métier je l'aime ça hein! (euh... si on pouvait me supprimer les 5èmes en revanche! :-) ) Sans rire, il faut seulement prendre du recul et travailler comme une acharnée chez toi pour n'avoir aucun regret et surtout ne pas remettre en question ta capacité à enseigner. En revanche, il faut également songer sans cesse aux raisons et conséquences des événemnts de la journée, bons comme mauvais, pour progresser.

C'est un métier magnifique, mais sincèrement éreintant nerveusement.

J'étais décidée à vous faire quelque chose de drôle et puis y'a eu ce matin.

Rien de bien grave hein ... Mais ce matin j'ai pris une leçon de vie incroyable. J'ai pris la mesure de ma petitesse . De ma faiblesse

Ce matin, j'ai découvert que mon départ coûtait sa place à mon chef. Il l'a découvert en même temps que moi.

Je me revois passer la porte de ce bureau un matin d'été pour affronter Cruella. Tout prendre sur moi, même si l'échec comme dans un couple n'est jamais à sens unique. Pour partir j'étais prête à tout. Mais pas à en payer ce prix..

Ce matin en réunion les larmes me sont montées aux yeux. Ma faute.

J'ai pris une décision difficile. Enfin je la pensais difficile. Je mesure qu'en fait ce n'était rien. Le seuil de douleur a atteint son paroxysme. J'aurai besoin de morphine.

Quinze personnes muettes. Clouées par la stupéfaction, effrayés par le spectacle qui se jouait devant elles, sidérées.

Et moi dans un mauvais rêve donc je souhaiterai sortir.

Dans un dernier soubresaut, j'ai tenté de lutter. Quitte à mourir, autant mourir l'arme à la main. Kamikaze un peu. The Last Samourai. Mes amis Potter et Hermione n'auraient pas été de trop dans cette lutte inégale. Mais voilà, la magie n'était plus.

Comme dans le livre Dumbledore a été abattu. Et pas de Vampirella pour tenter de faire sceptre cet esprit vif ... et mort désormais.

Lendemain de fête ... pourtant pas de whisky au programme de ma soirée. Juste un goût d'amertume en bouche...

Saviez vous que la culpabilité coupe l'appétit ?Certains diront que c'est fin très fin,, ça se mange sans faim.

C'est décidé je suis au régime. Diète !

Voilà en fait tout ça pour arriver à la conclusion de ma journée ... A force de dire que je fais ma blonde ... je le suis devenue ... Ca déteint vite ce genre de truc :D

D'ailleurs , qu'est-ce qu'une blonde qui se teint en brune? Une intelligence artificielle .

La question philosophique de la nuit est : suis je une fausse brune ou une fausse blonde ? ? ?

Pour résumer ... Mon humeur du jour !

A être nombriliste, j'ai même pas adressé un petit signe de main à 6of9 lol

Pour vivre heureux, vivons caché ... c'est bien que tu montes le bout de ta chevelure "roussoyante" parfois ;-)

J'en profite pour vous dire merci les filles ...

Je suis déjà à 3 George ... il parait que ca réssusciterait un mort, ca tombe bien, hein ?

Pour SixofNine.

Et pour Babou, si je pouvais c'est du George en intraveineuse qu'il me faudrait. Comme ça je ne sens pas le goût (que je déteste) mais en ressentirait les effets merveilleux.

Comme prévu j'ai rêvé de disque dur, enregistrement, agents du FBI et autres joyeusetés...

22 Octobre. Halloween n'est pas encore passé que déjà les vitrines se parent de guirlandes multicolores. Déjà les épiciers mettent en rayon des kilos de chocolat. Déjà les prospectus abondent dans les boîtes aux lettres, générant des listes de Noël plus longues qu'une année de notes en cours de médecine: ce sera jeux vidéos japonais pour les garçons, barbies High School Musical pour les filles. Déjà, les parents interrogent fébrilement leur compte en banque, anxieux de savoir s'ils pourront, cette année encore, remplir les petits souliers montant la garde au pied du sapin. Tiens, à ce sujet: comment appelle-t-on un chat tombé dans un pot de peinture le jour de Noël ? Un chat-peint de Noël.

Souris, Noël approche baby!

Néanmoins, ce 22 octobre, une question me taraude. Peut-être pourrez-vous m'aider? Si le Père Noêl est une ordure, alors pourquoi les enfants pauvres ne le rencontrent-ils pas lorsqu'ils fouinent dans les déchets?

Oxygène.

Un peu d'air frai dans mes poumons, un peu de baume à mon cœur. Des larmes sur mes joues et beaucoup de douleurs. C'est de l'oxygène dont j'ai besoin.

Réfléchir... Réfléchir pour quoi faire? Sa mène à quoi, sa rime a quoi? Sa rime pas, sa rime a rien.

J'entends encore parfois des bribe de mots dans ma tête. De sa voix insoutenable aujourd'hui. Il y a quelques années j'aurais fondu... Idiote. « Zezette épouse X! » Qu'il me disait avec sa voix mielleuse pour me faire rire.

Comment il m'a fait rire avec ça? Si au moins sa avait pu être une blague du genre « Les hommes c'est comme la neige, tu sais jamais combien y en aura et combien de temps ça va durer! ». Non, même ça c'est nulle!

Je suis pour la paix des cœur. Le mien est un champ de mine. Piégé. Champ de bataille ou je perd à chaque coup. Je suis la dernière, tien je sens babou sourire. Je suis toujours là dernière.

Soyons fou? Soyons franc? Je ne sais plus bien dans quel tiroir se range les mots. Je me mélange les pinceaux. Ou les torchons? Ça dépend de l'humeur. Des pinceaux j'en ai pas. Va pour les torchons alors.

Se reprendre... Re et prendre? Ou est le rapport. Faut qu'on m'explique la langue française un jour. J'ai jamais rien compris, JR en sais quelques choses. Pas mort? Sous des tonnes de correction?

Oxygène.

Faut que j'y pense. Respirer. Vivre. Ah oui peut être un peu. C'est mieux?

Peut on pensé a ne plus pensé? C'est qu'on penses déjà. Déjà, c'est déjà de trop. Je m'embrouille. Je vous embrouille aussi. Flot de paroles.

Réflexion. Non, toujours pas envie. Trop difficile pour mon esprit. Mon monocycle n'y survivrais pas. Ce serait dommage. Il pédale déjà assez tout seul.

Voilà jusqu'où j'en arrive avec tes idées katoush... Je me torture l'esprit.

Un peu d'air frais dans ma tête, un peu de douceurs dans mon esprit. Un sourire sur les lèvres, un bonheur un peu éphémère. Oublie l'oxygène. J'ai perdu pied.

Petit exhibition de mon être. Mon paraître est bien trop excentrique. Je vous salue Marie pleine de grâce! (chez moi on dis Marie pleine de Schwitzer Kase)

Maiheu j'ai une photos mais sa prend pas... et la sa fais la 7ieme fois que j'essay sa me plante tout l'ordi... comment je fais... manitenant j'ai pas de photo...

Voici une petite histoire née d'une après midi peu studieuse sur le chat... Enjoy!

Nous sommes en plein jour. Le soleil de Californie brille, comme toujours. La chaleur est presque insoutenable. Une jeune femme marche sur la plage, les pieds dans l'eau, respirant goulument l'air chargé en iode. Elle semble perplexe, un vague air de culpabilité sur le visage. La plage est bondée mais elle semble seule au monde.

A l'autre bout du pays, dans un appartement sombre et lugubre, une jeune femme semble parler toute seule. En s'approchant, on peut apercevoir une cage face à elle. Dans la cage se tient un oiseau anormalement immobile compte tenu de sa race. La mouette semble comme envoutée par le discours de notre inconnue. On s'attendrait presque à voir l'oiseau hocher la tête... La jeune femme finit par se taire. Elle affiche une mine réjouie mais toutefois inquiétante. Un sourire presque diabolique sur les lèvres, elle ouvre la cage et regarde l'oiseau s'envoler par la fenêtre.

Sur la plage de Californie, notre inconnue s'est allongée. Elle lit et relit quelques feuillets manuscrits des larmes pleins les yeux. Sur les feuilles, on voit des traces de crayon rouge. Elle soupire tristement. "Maialen, je m'en veux tellement. Je n'aurais pas dû te laisser me confier cette responsabilité". Elle lève les yeux au ciel, consciente qu'il est trop tard pour que Maialen l'entende et la pardonne.

Dans le ciel quelque part entre New York et Neptune, une mouette vole à un rythme effréné. A sa patte clignote une petite lumière rouge.

Sur un écran d'ordinateur, Maialen suit un point rouge. Tout semble se passer selon ses désirs.

Sur la plage, la nuit commence à tomber. Notre inconnue frissonne légèrement mais ne semble pas décidée à rentrer. Babou, de son prénom, regarde dans le ciel et aperçoit un grand oiseau blanc parsemé de gris. Une mouette à Neptune? pense t'elle. Mais le plus étrange reste à venir. La mouette semble irrémédiablement attirée par Babou, qui pétrifiée par la peur semble clouée au sol. La mouette s'abat subitement sur elle et la nuit est troublée par un cri perçant.

A New York dans l'appartement lugubre, Maialen a les yeux rivé sur son écran. Elle retombe dans son fauteuil et lâche un soupir de soulagement. "Ma vengeance est enfin complète. Babou il ne fallait pas commettre d'erreur. Plus jamais tu ne corrigeras une de mes œuvres, plus jamais tu le les saliras de te fautes d'orthographe."

The End

Je tiens à préciser que je ne suis pas une psychopathe...

Au cas où quelqu'un douterait !

Pour la dernière phrase de l'histoire, il fallait bien sûr lire "et plus jamais tu ne les saliras de tes fautes d'orthographe."

Désolée!

c'est ça non ? La preuve est écrite noir sur blanc !

c'est ça non ? La preuve est écrite noir sur blanc !

Bouh, quelle après midi pourrie! Si seulement la journée avait pu s'arrêter à midi, deux-trois heures à la rigueur ç'aurait été fantastique...

Et bien sûr, c'est évidemment quand on a mal à la tête, mal au coeur et je t'en passe et des meilleures que les deux petits diables que je garde deux fois par semaine deviennent véritablement insupportables... Quatre et six ans c'est petit pourtant, ça peut pas être si turbulent que ça. Ben si.
d'abord sorti de l'école, il a fallu que je me batte à moitié pour pas qu'ils fassent les zozos à côté de la grande avenue où les voitures vont vite. Arrivée dans la voiture, bataille à nouveau pour qu'ils se tiennent calmes, qu'ils restent attachés et qu'ils se frappent pas trop dessus (ô joie des jours de pluie où les enfants n'ont pas assez cavalé pendant la journée...);
On démarre enfin, on doit avoir dix minuttes de voiture à faire, pas grand chose, mais au bout de deux pauvres minutes il y en avait déjà un qui pleurait (le petit) et l'autre qui en rajoutait une couche par dessus en le traitant de "crotte de bique" (insulte suprême s'il en est). Résultat faut que je m'arrête pour remettre les pendules à l'heure.

Silence pendant le reste du trajet. Arrivée à la maison, nouvelle dispute entre les deux frères pour ouvrir la porte. le petit repleure, part en boudant au bout du jardin, le grand rentre en courant dans la maison. Et moi je me retrouve comme une c**** écartelée entre les deux. J'avance vers le petit, le grand se met à faire l'andouille dans la cuisine. Je rentre pour l'engueuler, le petit se remet à pleurer. Je retourne vers le petit, le grand vient en rajouter une couche pour faire pleurer un peu lpus son frère. Je pousse une gueulante, le petit pleure de plus belle. enfin bref j'arrive à les traîner tant bien que mal jusqu'à la cuisine: goûter. je savoure ce quart d'heure de repos.

Et puis c'est reparti, même manège pendant une autre demi-heure, avec le ciel qui s'assombrit. je finis par les faire galoper dans le jardin pendant l dernière demi-heure, et là, enfin, ils arrêtent de s'engueuler.

leur mère arrive, je repars avec une migraine pas possible. Obligée d'annuler le cours que je donne après d'habitude tellement je n'arrive pas à penser droit.

Pfiou, heureusement que je les aime ces gamins, parce qu'il y a des jours...

... y'a des jours on comprendrait presque les meurtriers.... j'ai bien dit presque!